Découvrir les métiers des professionnels intervenant auprès des aidants

Aider un proche implique souvent d’être en contact avec des professionnels, aussi différents que complémentaires, parfois nombreux. Mieux connaître leurs champs d’intervention permet de les interpeler plus facilement, de manière plus adaptée à la situation du proche aidé, vous permettant d'obtenir de meilleurs conseils et réponses.

Voici différents métiers que vous pouvez être amené à rencontrer ou à solliciter dans le cadre de l’accompagnement de votre proche

Être aidant demande de devoir régulièrement faire face à de nouvelles situations et à s’adapter : les professionnels peuvent vous y aider, ils sont nombreux à graviter autour des personnes en perte d’autonomie. Que ce soit en institution, en cabinet, pour le compte de structures, ils travaillent le plus souvent en réseau et sont en mesure de vous accompagner et de vous orienter.

Vous souhaitez en savoir plus sur les différents métiers de la Santé ? Rendez-vous sur le site solidarites-sante.gouv.fr

1. Acteurs de la protection des majeurs

En tant qu’aidant, si votre proche n’est pas en mesure de prendre des décisions éclairées sur la gestion de son budget, de son patrimoine et/ou de son quotidien, vous pouvez faire appel au juge des tutelles pour demander la mise en place d’une mesure de protection juridique et la désignation d’un acteur pour l’accompagner ou se substituer à lui. On parlera alors, d’une sauvegarde de justice, d’une curatelle simple, d’une curatelle renforcée ou d’une tutelle selon les besoins de votre proche. Les acteurs de la protection des majeurs (qui peuvent être indépendants ou salariés d’une structure) assurent (ou coassurent) au quotidien, le paiement des factures, la signature des documents légaux et plus généralement l’organisation de la vie quotidienne de la personne.

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Le juge des tutelles :

Le juge des tutelles reçoit les requêtes et les instruit. Il décide d’ouvrir ou non une mesure de protection, choisit la mesure appropriée et la personne qui en sera chargée. Il assure le suivi des dossiers en examinant les demandes d’autorisation présentées par les tuteurs et curateurs et répond aux courriers.

Le mandataire judiciaire à la protection des majeurs :

Nommé par le juge des tutelles pour prendre en charge les mesures de protection juridique quand la famille ne peut le faire. Il peut travailler au sein d’une association, d’un service hospitalier, préposé d’établissement ou à titre individuel.

Les membres de la famille :

Peuvent saisir le juge des tutelles d’une requête. Sont prioritaires pour être désignés comme tuteur ou curateur.

2. Aide Médico-Psychologique (AMP)

L’Aide Médico-Psychologique exerce auprès de personnes fragiles : enfants, adolescents, personnes handicapées, âgées ou en situation d’exclusion sociale. Son intervention comprend l’aide pour effectuer les gestes de la vie quotidienne : se lever, faire sa toilette, s’habiller, se nourrir, ou se coucher. Le ménage et le rangement du logement ou encore l’accompagnement lors des déplacements font également partie de ses attributions.

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Attentif au bien-être de la personne, l’AMP répond à ses besoins, même s’ils ne peuvent être exprimés. Il exerce également un véritable rôle d’éducation et d’éveil, en stimulant la mémoire, en encourageant l’expression et la communication.

L’AMP propose des activités variées, comme la peinture, la musique ou d’autres loisirs, selon les capacités et les envies de la personne aidée. À travers le cinéma, la lecture ou les jeux, elle favorise non seulement la découverte et l’apprentissage de nouvelles connaissances, mais également les échanges et la communication. L’AMP peut intervenir à domicile, mais intervient la plupart du temps dans des structures, au sein d’équipes pluridisciplinaires, .

3. Assistant de Soins en Gérontologie (ASG)

L’Assistant de Soins en Gérontologie intervient à domicile (en Equipe Spécialisée Alzheimer notamment) ou en établissement (EHPAD, Accueil de Jour…) , afin d’aider et soutenir les personnes fragilisées par une maladie neuro-évolutive ou par la perte d’autonomie. Son intervention va de l’accompagnement dans les actes essentiels de sa vie quotidienne (accepter une aide à la toilette, s’habiller…), à des activités de stimulations cognitives.

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De formation Aide-Soignant ou Aide Médico-Psychologique, expérimenté dans la prise en charge de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou en grande dépendance, sa formation complémentaire d’ASG renforce ses connaissances des maladies neuro-évolutives et des comportements à adopter pour favoriser la relation à la personne malade.

L’ASG exerce en équipe pluridisciplinaire, sous la responsabilité d’un professionnel paramédical ou d’un travailleur social. Il contribue à l’évaluation des besoins de personnes âgées présentant des déficiences sensorielles, physiques ou psychiques, ou des troubles du comportement. Il participe à la surveillance, à la prévention des complications et au soutien de ces personnes et de leurs aidants. L’ASG contribue ainsi à restaurer ou préserver l’autonomie des personnes âgées et à maintenir ou restaurer l’image que celles-ci ont d’elles-mêmes, en participant notamment à la mise en œuvre du lien social et à la lutte contre la solitude et l’ennui.

4. Aide à domicile

L’Aide à domicile intervient directement dans l’environnement de la personne en perte d’autonomie ou en situation de dépendance, afin de l’accompagner dans la gestion courante du domicile. Ainsi, l’Aide à domicile peut réaliser des courses à l’extérieur, à la pharmacie, mais aussi entretenir le logement, gérer le linge de la personne qu’elle accompagne.

5. Auxiliaire de Vie Sociale (AVS)

L’Auxiliaire de Vie Sociale intervient au domicile ou en établissement accueillant des personnes en perte d’autonomie, ou en situation de dépendance. Son intervention se situe en complémentarité de l’Aide à domicile, puisque l’AVS s’occupe également de l’environnement de la personne tout en ayant la capacité d’intervenir de manière physique auprès de la personne accompagnée. Elle apporte une aide à l’habillage à la toilette, pour se promener, et notamment pour aider à prendre les repas, de la confection jusqu’au repas en lui-même.

6. Coordinateurs sociaux / coordonnateurs de parcours

Le coordinateur social ou coordinateur de parcours évalue la situation de la personne en perte d’autonomie, préconise, et peut aider à organiser, les services pour permettre la mise en place d’un parcours coordonné de la personne concernée. Il coordonne les actions des différents intervenants qu’il recrute autour de la personne aidée (AMP, AD, AVS…), en réalisant notamment les plannings d’interventions.

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Selon sa formation, il est en mesure de réaliser une évaluation globale des besoins des personnes âgées ou dépendantes. C’est également lui qui assure le suivi du budget des interventions à domicile et évalue les résultats, à la suite de la mise en place des différentes actions afin de les réajuster, si nécessaire. Enfin, il développe un véritable partenariat avec les structures de son territoire afin de mieux coordonner les actions et de s’assurer un réseau pluridisciplinaire de professionnels.

Le coordinateur social est issu d’une formation de niveau Bac +2 ou Bac +3, selon les filières (BTS SP3S, BTS Economie Sociale Familiale, DE Social ou DE d’infirmier, ou encore Licence professionnelles). Il exerce le plus souvent au sein d’un établissement ou d’un service (SSIAD, Service d’aide à domicile…).

7. Diététicien

Intervenant à domicile, en cabinet de ville ou en établissement de soins, le diététicien articule son travail en différentes étapes. A partir d’un bilan diététique personnalisé, il dispense des conseils nutritionnels, éduque et rééduque sur le plan nutritionnel, des patients atteints de troubles du métabolisme ou de l’alimentation, ainsi que les personnes atteintes de troubles neurologiques (maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson, hémiplégie…). Le diététicien favorise une consommation de plats équilibrés, tout privilégiant le plaisir de manger selon les goûts du patient.

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En plus d’ajuster les menus en fonction des pathologies des patients (diabète, hypertension…), il est également en mesure de faire le lien entre le type d’alimentation chez une personne et ses éventuels troubles neurologiques. Le diététicien s’intéresse à l’aspect nutritif de l’alimentation, notamment dans le cadre d’une possible fonte musculaire (inhérente à une maladie ou au vieillissement, ou bien liée à une alimentation insuffisante), ou dans le cadre de chutes répétées. Il considère les conditions d’alimentation de la personne, en termes de capacités physiques (troubles de la déglutition, difficultés motrices…) ou bien lorsque la personne s’alimente difficilement (perte de l’appétit, perte du goût, refus de s’alimenter…).

Le diététicien dispose de techniques favorisant l’alimentation et couvrant les besoins nutritionnels, de manière à prévenir les risques de fausse route et à préserver les capacités physiques de la personne.

8. Ergothérapeute

Pour faciliter les activités du quotidien de la personne et ses déplacements, l’ergothérapeute étudie, conçoit et aménage son environnement afin de le rendre le plus accessible possible. Son rôle s’articule entre l’accompagnement et la sécurisation de l’environnement du patient, la stimulation de son autonomie, tout en veillant à la santé des aidants et des professionnels qui l’accompagnent. Si nécessaire, il préconise et utilise des appareillages de série, des aides techniques ou technologiques, facilitant ainsi les gestes de la vie quotidienne et professionnelle.

Les ergothérapeutes interviennent à tous les âges de la vie et exercent dans des domaines d’activité variés, comme la rééducation fonctionnelle, la réadaptation professionnelle ou l’accompagnement à domicile.

9. Gestionnaire de cas

Accompagnant de façon soutenue les personnes âgées en perte d’autonomie, le gestionnaire de cas coordonne les interventions adaptées aux besoins des personnes en situation complexe. Ceci lorsque se cumulent plusieurs difficultés, tels que des problèmes de santé associés à une perte d’autonomie, ou bien lorsqu’une personne rencontre des difficultés dans la gestion de ses besoins et des aides nécessaires, ou encore lorsqu’il n’existe pas d’entourage proche en mesure de le faire pour elle.

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Ces difficultés cumulées peuvent avoir pour conséquence l’intervention de nombreux interlocuteurs. D’où la nécessité qu’un gestionnaire de cas vienne faire le lien entre tous ces intervenants, en devenant l’interlocuteur direct de la personne et de sa famille, du médecin traitant et des autres professionnels intervenant à domicile.

S’il n’est pas possible de solliciter l’intervention d’un gestionnaire de cas directement, le point d’information local le plus proche de chez vous peut vous renseigner (CLIC, DAC, M2A, selon le lieu d’habitation).

Plus d’information sur le site solidarites-sante.gouv.fr

10. Infirmier Diplômé d’Etat (IDE)

En cabinet, à domicile, en milieu hospitalier, ou en établissement d’accueil, l’infirmier évolue auprès du patient afin d’assurer des soins de confort et de bien-être, en procédant aux soins spécifiques et d’hygiène réclamés par l’état de santé qu’il observe. L’infirmier peut participer au lien entre le patient et son médecin et/ou l’hôpital, en assurant un rôle de transmission de l’information, et le cas échéant, d’éducation thérapeutique pour permettre au patient de mieux connaître sa maladie et ainsid’apprendre les points de vigilance à observer et les conduites à adopter.

11. Infirmier Diplômé d’Etat Coordinateur (IDEC) en ESA

Professionnel qui intervient à domicile, notamment en Equipe Spécialisée Alzheimer (), sur prescription médicale, en établissement hospitalier, ou d’accueil pour coordonner l’accompagnement médico-social de la personne. Il assure des séances de soins individualisés, axés sur des activités thérapeutiques, au domicile de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, maladies apparentées, ou maladies neuro-dégénératives. L’IDEC est également en mesure de soutenir les aidants sur le plan psycho-éducatif.

12. Masseur-kinésithérapeute

En cabinet, à domicile, en milieu hospitalier, ou en établissement d’accueil, le masseur-kinésithérapeute travaille en étroite collaboration avec l’équipe médicale et l’équipe soignante. Il établit un bilan qui comprend notamment le diagnostic kinésithérapique et les objectifs de rééducation, ainsi que le choix des actes qui lui paraissent les plus appropriés.

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Selon la situation, il peut proposer de nombreuses techniques (massages, mouvements de gymnastique à l’aide d’appareils, de poids…) et utiliser l’eau, la chaleur, le froid ou les ultrasons, ceci en vue d’une rééducation du patient, ou en cas de douleurs, inhérentes au vieillissement de la personne, ou encore à la suite d’un traumatisme (accident domestique, accident de la voie publique…).

Il est également important de consulter un kinésithérapeute à la suite d’un diagnostic de maladie neuro-évolutive (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques…), en vue de préserver l’autonomie de la personne. En présence de troubles cognitifs, il est important d’intégrer rapidement les séances de rééducation physique, de manière qu’elles s’intègrent au paysage familier de la personne atteinte. Par les exercices de stimulation qu’il propose, mais aussi par ses connaissances des pathologies, le kinésithérapeute conseille des techniques afin de favoriser les mouvements physiques.

Plus d’information sur le site solidarites-sante.gouv.fr

13. Médecin gériatre

Spécialiste des personnes âgées, le gériatre exerce en service hospitalier, en établissement d’accueil, en cabinet, ou au sein de structures de coordination qui accompagnent les personnes à domicile. Du fait de l’évolution démographique, il s’agit d’un secteur de santé en pleine croissance, dans lequel l’accompagnement du patient est global et cherche à maintenir ou à restaurer l’autonomie fonctionnelle de la personne âgée. Le gériatre apporte son expertise concernant la personne âgée, pour laquelle les traitements médicamenteux doivent être adaptés, du fait du vieillissement des organes, ainsi que des particularités cognitives qui peuvent survenir dans le vieillissement pathologique.

14. Médecin rééducateur

Le médecin rééducateur est un spécialiste de la Médecine Physique et de Réadaptation, branche médicale recouvrant la prise en charge des personnes handicapées ou victimes de lésions, à la suite d’un accident ou d’une maladie, mais aussi en cas de douleurs chroniques.

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En cabinet privé ou à l’hôpital, en unité de Soins de Suite et de Réadaptation, le médecin rééducateur accompagne les patients jusqu’à la récupération complète ou partielle de leurs fonctions motrices, dans une perspective physique, psychologique et sociale et ce, en vue d’une récupération des capacités physiques. Il veille aussi à leur réinsertion sociale. Après avoir réalisé différents examens, le médecin rééducateur établit un programme de rééducation adapté à la souffrance du patient, en collaboration avec une équipe pluridisciplinaire composée d’un ergothérapeute, d’un masseur-kinésithérapeute, d’un médecin généraliste, d’un psychologue et d’autres professionnels.

15. Médiateur

Le médiateur familial, est un professionnel diplômé d’Etat,  impartial, indépendant et sans pouvoir de décision.

Il va favoriser, à travers l’organisation d’entretiens confidentiels, la communication entre les personnes qu’il accueille et accompagne mais aussi la gestion des conflits entre les personnes dans le domaine familial.

La médiation familiale permet de travailler la construction ou la reconstruction du lien familial, et de trouver avec les personnes des solutions concrètes aux conflits qu’elles rencontrent.

La médiation peut concerner les lien aidant/aidé mais aussi le liens entre aidants.

16. Orthophoniste

Si l’orthophoniste est souvent connu pour son intervention auprès d’enfants ou de personnes présentant des problèmes d’articulation, celui-ci travaille également auprès de personnes atteintes de troubles neurologiques ou mnésiques. Il intervient en cabinet, à domicile, ou établissement d’hospitalisation ou d’accueil. Il procède à une évaluation et élabore un diagnostic, prévient les difficultés d’élocution et les troubles cognitifs. L’orthophoniste accompagne ainsi des personnes susceptibles de présenter des troubles de la communication, du langage, des fonctions oro-myo-faciales et des autres activités cognitives.

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Son travail s’oriente, selon la situation du patient, vers des exercices d’articulation, de phonation, ou bien en stimulant les différents types de mémoire. Dans ce cadre, l’orthophoniste intervient auprès de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer (stimulation cognitive), de la maladie de Parkinson (si troubles de la déglutition, de l’articulation, ou d’une voix faible/chuchotée), d’une hémiplégie (si troubles de l’élocution ou d’une aphasie), d’une sclérose en plaques, ou bien à la suite de certains AVC. Le travail de l’orthophoniste peut se faire dans le cadre d’une rééducation, d’un entretien des capacités de la personne, ou bien afin de ralentir l’évolution des difficultés.

17. Psychologue

L’intervention du psychologue peut se faire en cabinet, à domicile, ou établissement d’hospitalisation ou d’accueil. Son travail peut partir de la sollicitation du vécu de la personne aidée, afin de savoir comment elle vit sa situation et comment l’équipe soignante peut envisager son action. Ceci est particulièrement important dans l’accompagnement de personnes atteintes d’une maladie neuro-évolutive qui, malgré des troubles parfois majeurs, ont des éléments personnels à apporter.

Le psychologue peut également soutenir les aidants, en réfléchissant avec eux à la situation, aux enjeux et à la manière dont chacun se positionne.

18. Psychomotricien

L’intervention du psychomotricien peut se faire en cabinet, à domicile, ou établissement d’hospitalisation ou d’accueil, pour les personnes en perte d’autonomie ou en situation de dépendance. Son intervention s’articule à partir de la prise en compte des capacités locomotrices de la personne et de son état psychique, afin de la stimuler au mieux. Ce travail favorise ainsi la réalisation de certaines actions, en travaillant sur l’appréhension de la personne.

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Il est particulièrement important de solliciter un psychomotricien devant une appréhension à la marche, une peur de tomber. Par son approche centrée sur le corps, le psychomotricien peut également envisager des séances de relaxation ou de stimulation sensorielle, d’autant plus judicieux lorsque la personne ne parvient pas à s’exprimer et à verbaliser son appréhension ou sa gêne.

19. Socio-esthéticien

Intervenant à domicile ou en établissement, il réalise des soins socio-esthétiques adaptés et, selon la situation, propose des séances de toucher relationnel, ou des séances centrées sur l’hygiène corporelle appliquée et les soins portés sur l’apparence de la personne.

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Le socio-esthéticien accompagne la personne vers une revalorisation de l’image de soi et favorise la réparation identitaire, contribuant ainsi à l’inscription de la personne dans son environnement. Restaurer l’image de soi est particulièrement important chez des personnes atteintes au niveau corporel, notamment lors d’un cancer, ou bien lorsque la perte d’autonomie ou la dépendance ont perturbé le rapport à leur corps.

20. Sophrologue

Le sophrologue intervient en cabinet, à domicile, ou en établissement en vue d’un mieux-être, recherché par le patient de tout âge. L’approche théorique s’articule sur la relation entre le corps et l’esprit de la personne, dans une perspective complémentaire selon la situation du patient, le rapport à son corps et ce qu’il peut en dire.

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Si l’anxiété est un motif fréquent de consultation, d’autres indications sont pertinentes : lorsque le rapport au corps est affecté, quand il vieillit, ou bien en présence de douleurs, ou d’une maladie telle que le cancer. A l’aide de la méditation, de la relaxation, de l’entretien ou encore du toucher-massage, le sophrologue accompagne le patient dans le réinvestissement de son corps et de son image de soi.